Pique-nique sur le lac

Kikuri seule marchait le long de ce lac magnifique, avec un panier à la main. En effet, cette dernière avait prévu un petit pique-nique au bord de l'eau. C'était la première fois qu'elle venait ici, la légende était vrai l'on ne se refléter pas sur ce lac immense. Elle le contempla assise dans l'herbe, elle se sentait si petite rien que le voir lui si grand. Elle repensa à ce qu'elle avait dit à son ami :

- Où par tu comme ça ??!
- Moi je vais au lac des Abîmes, alors il faut que je me prépare.
- Le lac des Abîmes, on m'a dit qu'il est magnifique et qu'on ne se reflète pas dedans, comme je te connais tu vas te perdre en route, donc j'irais avec toi !!?
Agacé par ces paroles, elle répliqua :
- Non désolé, mais tu n'es pas invité à te joindre à moi, je saurais me débrouillais toutes seules, je vais pique-niquer en temps en tête à tête alors . . .
Il la coupa dans ces paroles en lui tenant le bras pour ne pas qu'elle parte et voulu parlait mais aucun mot ne sorti de sa bouche.
Alors Kikuri lui enleva sa main de son bras et parti chez elle pour préparer le pique-nique, le laissant seul. Elle s'enfonçait dans la foret et petit à petit sa silhouettera disparaissait et il fini par ne plus l'apercevoir.

Pourquoi lui avait elle préparait le pique-nique pour deux alors qu'elle a envoyait baladé celui qu'elle voulait inviter. Si il ne l'avait pas chagriné en lui disant qu'elle ne saurait pas y aller toute seule, elle ne lui aurait pas fait la tête et ça ne saurait pas passer comme ça. Ils seraient en train de déjeuner tranquille tout les deux à admirer le paysage.
Elle se senti triste est regretta d'avoir mal réagit à sa petite blague. Elle espérait quand même qu'il viendrait par curiosité voir qui est son invité, malheureusement imaginaire. Elle finit par s'allonger dans l'herbe et ferma les yeux en imaginant ce qu'il aurait pu faire ici tout les deux ensembles. Avec cette histoire, elle n'avait même plus d'appétit et quelques vingtaines de minute passèrent, elle n'avait pas bougé de sa place. Elle ne voulait qu'une seule chose, le voir, et personne d'autre . . .

Cela fait un bon bout de temps qu’il attendait caché, mais elle n’avait pas bouger d’un pouce et était toujours seule, celui qui devait venir lui avait sûrement posé un lapin ce qui le soulagea un peu. Il s’avançât doucement et sans un bruit jusqu’à elle. Il se baissa et avec la plus grande délicatesse lui caressa les cheveux mais elle ne bougeait pas, il comprit alors qu’elle dormait et ne voulant pas la réveiller s’assit à coté d’elle en attendant qu’elle se réveille toute seule.
Il vit que dans le panier il y avait bien deux repas et se dit qu’elle ne lui avait donc pas menti, elle attendait bien quelqu’un. Il ne se doutait pas du tout que cette personne c'était lui, Mello.
Le jeune homme regarder Kikuri, endormi comme ça devant lui, elle lui rappela un conte où pour réveiller la belle, il fallait l'embrasser. Mais il pensait que ça serait plutôt à l'inconnu qui n'est pas venu de faire ce travail.
Dans le panier, elle n'avait pas encore mangé un seul des sandwiches, lui affamait se servit comme si ne rien n'était. Et mangeait en contemplant ce magnifique paysage en attendant que son amie se réveille enfin.

Quand je me suis réveillé, Mello était a coté de moi en train de manger le dernier sandwich que j'avais préparé. Je ne m'étais pas redu compte que je m'étais endormi, ni qu'il était avec moi. Je regarda vite fait l'heure, il était déjà 17 heure et je n'avais pas encore déjeuné.

- Mais qu'est que tu fais là et depuis quand ??!
Mais où sont tout mes sandwichs, moi j'ai une faim de loup ??!

Il y avait plus rien dans le panier, il . . . il était vide !!? Mais qu'est qu'il a fait pendant que je dormais ??! Mais Kikuri était contente qu'il s'est décidé à venir, mais elle ne voulait pas le montrer. Il commençait à faire froid, quand elle remarqua enfin qu'elle avait la veste de Mello et que lui n'avait qu'un débardeur. En effet, gentil comme il est, il n'a pas voulu qu'elle attrape froid pendant son sommeil.

Kikuri s'était réveillait et malheureusement pour lui un peu de mauvaise humeur. Et ces premières paroles fut :

- Mais qu'est que tu fais là et depuis quand ??!
Mais où sont tout mes sandwichs, moi j'ai une faim de loup ??!

Comment allait il expliquait qu'il est venu l'espionnait et qu'il a mangeait tout ce qu'elle avait préparé qui pour information était super bon. Pas doué avec les mots, il ne trouva qu'à dire :

- Euh mon frère m'a dit de lui ramener un peu d'eau d'ici car il n'est pas convaincu qu'elle ne nous reflette pas, alors je suis venu ici vers 14 heure et je t'ai vu endormi, alors je suis resté prés de toi. Et tes sandwichs euh . . . c'est un poison géant qui est sorti de l'eau pour tous les manger mais j'ai réussi à en sauver un. Tu veux qu'on le partage.

Lui dit il en lui tenant le survivant du massacre des sandwichs. Elle ne se fit pas prier et lui arracha des main pour le manger.

- Euh pour me faire pardonner d'avoir sauvé qu'un seule de tes super bon sandwich, je t'invite au restaurant ce soir

Dit il avec le sourire sur les lèvres, il était contente de son histoire qu'il venait de dire et surtout avoir eu l'adresse de l'inviter à manger.

Alors elle pensa que si il était là depuis 14 heure, il a du attendre environs 4 heures tout seul avec moi. Il a du s'ennuyait alors amusé par l'histoire bidon de Mello, elle ne lui en veux pas d'avoir mangé ses sandwichs pour passé le temps. Mais elle lui dit quand même en mangeant le seul rescapé du goinfre Mello :

- Okey pour le restaurant, car tu aurais du faire attention, les pauvres petits sandwichs quand même. Et maintenant il en reste même pas un seul, vu que j'ai mangé le dernier. Paix à leurs âmes . . .

Alors tout les deux se levèrent pour partir, après une dizaine de pas, Kikuri rajouta :

Au faite, tu ne rapporte pas l'eau pour ton frère ??

Mello qui n'a pas compris toute suite que quoi elle parlait, lui dit :

- L'eau . . . qu'elle eau . . . Aaaaah oui, l'eau pour mon frère . . . oh non il ira la chercher lui même c'est déjà bien que j'ai eu la gentillesse de me déplacer pour lui.

Et ils partirent tout les deux sur le chemin de la capital, dans l'intention de se montrer sous leurs plus beaux jours à leur repas au restaurant, pour un vrai tête à tête, cette fois.
Et laissant derrière eux, les miettes des sandwiches disparurent avec le poisson géant toujours affamé qui attendra des nouveaux visiteurs pour leur voler leurs repas ou faire d'eux son repas.
Prenait garde voyageur, le danger rode partout, et l'imagination devient réelle . . .

Suite :Le premier rendez-vous